dimanche 21 octobre 2018

Elite : la série d'ados de Netflix qui m'a bien fait kiffer

En ce moment, je suis en régression totale sur Netflix. Mais vraiment. Genre je regarde que des comédies romantiques avec Noah Centineo (qui pourrait limite être mon fils ! - non, mais... #TeamBrigitteMacron un peu quand même...), je matte des séries qui se passent dans des lycées... Bref, totale régression.


Le weekend dernier, je suis tombée sur Elite. J'avoue, la première chose qui m'a fait cliquer, c'est qu'on retrouve trois des acteurs de La Casa De Papel. Alisson, Rio et Denver. Du coup, j'ai eu l'impression de retrouver des potes après de longues vacances. Et je me suis dit "allez, prends un peu de leurs nouvelles, on va voir comment ils se portent".

D'ailleurs, petite parenthèse qui n'a rien à voir avec la série, ils sont vraiment malins chez Netflix. Ils aiment bien reprendre les mêmes acteurs de série en série. Un peu comme le faisait Disney... On est content de les revoir, on les suit de série en film, en série... On est en boucle sur Netflix, nos stars sont celles de Netflix... Pfff, malin les gars. Et le pire : c'est que ça marche vraiment. Je peux te dire qu'ils peuvent faire des séries ou des mini-séries avec tous les gens de La Casa de Papel ou de Orange is the New Black, je regarderai forcément.



Mais revenons-en à nos moutons : Elite. Ca se passe dans lycée privé haut de gamme, avec que des gosses de riches. Mais arrivent trois nouveaux, les pauvres, car leur lycée s'est effondré. Du coup, le promoteur leur offre une bourse pour aller dans ce lycée pour compenser. Évidemment, l'arrivée de ces trois intrus va provoquer moult changements, et moult rebondissement.

Je ne spoile pas en vous disant que dès le premier épisode, on comprend qu'il s'agit d'une enquête sur le meurtre d'une des filles riche du lycée. Mais qui c'est qui a tué la petite rebelle de service ? Eh bien vous l'apprendrez dans le dernier épisode. Oui, c'est ça qui est bien avec Elite : il y a un début et une fin. Pas besoin d'attendre la saison 2.



Ce que j'ai bien aimé dans la série, c'est l'esprit lycée, le côté ado (bon tous les acteurs doivent avoir quitté les bancs du lycée depuis des années, mais on s'en fout). L'histoire est plutôt bien ficelée, il y a du rebondissement. Parfois c'est un peu attendu, mais ça se regarde très facilement.
J'aime bien aussi le côté très décomplexé qu'on retrouve dans les séries espagnoles (genre dans Un Dos Tres). Ça se galoche dans tous les sens, il y a du sexe : c'est totalement sans gêne. Y en a qui déteste ce côté-là, moi j'aime bien. Oui la midinette en moi est ravie avec ces histoires de cœur.

Ce que j'ai moins aimé : le doublage français. Le père d'une des élèves est palestinien. Le doublage français est assez gênant. Il le font parler avec un accent marocain un peu à la Chouchou... C'est franchement pas terrible. Vous allez dire que je pinaille, mais sérieusement : ça m'a gênée. J'ai trouvé que c'était abusé. Mais bon, on va dire que c'est le doublage et qu'il ne faut pas en tenir rigueur à la série en elle-même. J'aurai dû regarder en VO. Mais comme j'ai fait Allemand LV1, Anglais LV2, je me suis dit que j'allais être totalement larguée avec l'espagnol. Doublage raciste ou ne rien comprendre, il faut choisir.

Au final, malgré ces petits désagréments, je vous conseille vivement cette série : j'étais à fond dedans, j'ai tout maté en un peine un weekend. Ça se laisse dévorer très facilement. Prévoyez du pop-corn !

Et si comme moi vous avez kiffé : bonne nouvelle. Une saison deux aurait été signée... 

2 commentaires:

Unknown a dit…

J ai vu cette série et j avais bien accroché

Anneso a dit…

Je ne comprends pas l'argument de ne pas avoir étudié l'espagnol à l'école. Et les sous-titres? Je n'ai jamais appris l'allemand mais j'ai regardé Dark en VOSTFR! Pareil pour les séries scandinaves. Je n'imagine même pas voir Narcos ou n'importe quel film asiatique en VF! C'est ce qui fait le charme des séries étrangères.
Regarder La casa del papel ou Elite en VF, madre de Dios, ça doit être bien naze! Les écouter parler fait partie du plaisir.